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port de cherbourg histoire

En 1562, alors que les protestants se rendent maître de la plupart des villes normandes, Montgomery prépare le siège de Cherbourg, et Matignon sa défense. Port protégé et accessible à toute heure et par tous les temps, pointe avancée dans la mer de la Manche, la position de Cherbourg intéresse rapidement les compagnies de navigation reliant les ports tels qu’Anvers et Southampton à la côte est des États-Unis. Le port militaire connaît un accroissement d’activité. Il dure trois mois selon Voisin-La-Hougue, dix selon les. En revanche, la seule compagnie française, la Compagnie générale transatlantique, reste fidèle au Havre. Richard II dote en 998 le château de Cherbourg d’une église ou chapelle collégiale – aux chanoines de laquelle sont données les seigneuries de Tourlaville et Octeville. Pour autant, l’économie reste fragile, avec une industrie de l’armement cyclique, de moins en moins de bateaux de pêche, un port de commerce déficitaire. L’essence traverse la Manche via le pipe line sous-marin PLUTO (Pipe Line Under The Ocean)[40]. Cinq patrouilleurs rapides achetés par Tel-Aviv se trouvaient bloqués à Cherbourg, ne pouvant être livrés. En 1802, Bonaparte ordonne la reprise des travaux de la digue, selon la méthode de La Bretonnière, en aménageant la partie centrale pour recevoir des canons. Au début du siècle suivant, la ville et son agglomération mutent socialement et politiquement au gré des 4 000 ouvriers venus de toute la France pour être employés par l'arsenal, devenu « colonne vertébrale de la ville ». Port d'escale transatlantiques dans la première moitié du XXe siècle, Cherbourg est l'un des objectifs prioritaires des troupes américaines lors du débarquement de Normandie en 1944. Mais les plans de l’ingénieur Louis-Alexandre de Cessart sont choisis : un môle construit à partir de 90 cônes de bois de 20 m sur 20, remplis de pierres et de béton, reliés par des chaînes de fer. Valognes en compte 1 000[25]. Le port Chantereyne gagné sur la mer, la place Divette et le boulevard Schuman créés à l’emplacement des anciens champs de foire modifient la physionomie de la ville, alors que les autres villes de l’agglomération se densifient. Ensuite, face à la manne d’emplois que représentent ces projets et à la validation des ceux-ci par François Mitterrand en 1981, la contestation décline. Jean V de Bueil, fait amiral de France après la mort lors de ce siège de Prigent de Coëtivy, reçoit le gouvernement de la place. De nature souriante avec une patience à toute épreuve, Jean-Louis profite de la vie toujours dans la bonne humeur. Après un rapide développement dans la première moitié des années 1990, le site universitaire connaît aujourd'hui de nouvelles extensions, avec l’édification de nombreux équipements sur le campus – comme une bibliothèque universitaire et des bâtiments et installations à vocation sportive – confortant la position de Cherbourg comme second pôle universitaire de Basse-Normandie. Parmi eux se trouve la famille nobiliaire d’Entremont, dont l’ancêtre Philippe Mius d'Entremont (1601-1700), baron de Pobomcoup, était originaire de Cherbourg. La clientèle est encore à l'époque essentiellement d'affaires, et l'économie commence à tirer avantage du tourisme et du commerce et du luxe, dont témoignent les hôtels haut de gamme, le casino, les grands magasins Ratti. Dans ces années, Cherbourg peut être considérée comme bonapartiste. Après de multiples reports1, ce projet disparaît au profit dautoroutes de la mer en partenariat au sein de l'Ena (Eurocoast Network Association), avec les ports européens de Cuxhaven (Allemagne), Ostende (Belgique), Rosslare (Irla… L'épouse de celui-ci fonde trois ans plus tard l’abbaye du Vœu[5]. Les bassins Charles X (commencé en 1814 — 290 × 220 × 18 mètres) et Napoléon III (commencé en 1836 — 420 × 200 × 18 mètres) du port militaire sont respectivement inaugurés le 25 août 1829 en présence du dauphin, et le 7 août 1858 par le couple impérial. Le 30 novembre 1758, à la suite du « Grand Dérangement » et à la chute de Louisbourg, un navire britannique amène des déportés acadiens de l’Île Royale et l’Île Saint-Louis. L’arsenal et les forts de la digue résistent une journée de plus. Dès 1971, une communauté urbaine a été mise en place. Manet a immortalisé cet affrontement dans une de ses œuvres, aujourd'hui exposée au Philadelphia Museum of Art. Partis pour certains de la gare de Paris-Saint-Lazare à 9 h 40 et arrivés à 15 h 30, ils montent à bord des transbordeurs dont le Nomadic à 17 h 0, et le Titanic appareille à 20 h 10[37]. En 1777, deux projets lui sont présentés : l'ingénieur en chef des Ponts et chaussées et des ports de la généralité de Caen, Armand Lefebvre, prévoit dans le premier la fortification de la rade de Cherbourg autour du port de commerce agrandi. Les travaux de la digue sont conclus par la Troisième République, avec l’adjonction des digues de l’Est (1890-1894) et de l’Ouest (1889-1896), et la construction de la Petite rade (digue du Homet, 1899-1914, et digue des Flamands, 1921-1922). C'est là qu'on assemble, en les joignant étroitement au moyen de cercles en fer, les différentes parties qui constituent les bas-mâts des navires de premier rang. La bataille de Cherbourg doit donner aux alliés un soutien logistique pour le ravitaillement humain et matériel des troupes. Cherbourg, place forte depuis l'époque romaine, fut l'une des forteresses les plus solides de la guerre de Cent Ans. À la suite de ces ravages, Philippe le Bel fait fortifier la cité en 1300[5]. « Il était une fois Cherbourg - La municipalité face au choléra ». Le 10 avril 1912, le voyage inaugural du Titanic fait escale à Cherbourg, où débarquent 24 passagers et embarquent 274 autres. L'ancien port de pêche et de commerce modeste devient, à la fin du XIXe siècle, un pôle militaire et ouvrier dans un Cotentin rural. Dans ces années de l'entre-deux-guerres, le centre-ville se rénove, notamment sous les projets architecturaux de René Levesque, Drancey et René Levavasseur. L’année suivante s'installe l’École des applications maritimes de l’énergie atomique (EAMEA, devenue école des applications militaires de l’énergie atomique). Au lendemain de la Révolution française, on compte encore dans la ville deux centaines d’Acadiens, auxquels l’Assemblée nationale reconduit le versement d’une pension sur l’insistance du président de la Société des amis de la Constitution locale, Étienne-François Le Tourneur[26]. Cherbourg fusionne le 1er mars 2000 avec la commune voisine d'Octeville, pour former Cherbourg-Octeville. En juillet 1346, 40 000 soldats d’Édouard III, débarqués à la Hougue, prennent sans résistance les places du Cotentin mais se heurtent à la défense de Cherbourg dont les faubourgs sont une fois de plus saccagés. La rue du Port est une voie de Cherbourg-Octeville. En janvier 1794, alors qu’une large majorité des prêtres ont émigré, le représentant du peuple Bouret ordonne le saccage des ornements, statues, draperies et orgues de l’église de la Trinité. En 1731, Chantereyne revendique 5 500 habitants, le recensement de 1774 en dénombre 6 257, et celui de Dumouriez en 1778, 7 300, en y incorporant probablement les garnisons en place[25]. En 1992, le plan Joxe porte un coup grave à l’identité navale cherbourgeoise[45] en imposant une réduction drastique des effectifs de l’Arsenal, accompagnée du transfert des 500 marins de la Flottille du Nord (FLONOR) vers Brest. L’arrivée en grande rade de Cherbourg, la plus grande rade artificielle d’Europe, laissera d’incroyables images », poursuit-il. Mais le complot est découvert par les Anglais, qui tranchent la tête du troubadour sur la place du Château, le jour du sacre de Charles VII. La municipalité, placée sous l’autorité du chevalier de Gassé, refuse de se soumettre à l’autorité de la milice de Dumouriez ; cette opposition dure plusieurs mois[25], jusqu’au départ du militaire en fin d’année. Disposant de l’un des plus forts châteaux du monde selon Froissart, elle change six fois de propriétaires à la suite de transactions ou de sièges, jamais par les armes. Abîmés lors de la bataille de Barfleur et sans aucun port pour les protéger, trois des navires de la flotte s'abritent dans la baie de Cherbourg sous la protection de l’artillerie et la mousqueterie du fort du Gallet, construit deux ans auparavant par la milice bourgeoise : le Triomphant s'échoue à l’entrée du port, l’Admirable sur les Mielles, et le vaisseau amiral Soleil Royal sur la pointe du Homet. En 1066, le comte de Cherbourg, Gerberot, et ses deux fils sont aux côtés de Guillaume lors de la bataille de Hastings[5]. Cette dépendance de plusieurs siècles aux grandes décisions des pouvoirs publics et à l’industrie nucléaire provoque une profonde crise économique avec la fin de la guerre froide. Au soir, les derniers combattants se rendent. L’ampleur des travaux séculaires eut un écho important en France, à l’image d’Émile Zola qui écrit en 1879 dans Nana : « À Cherbourg, il avait vu le nouveau port, un chantier immense, des centaines d’hommes suant au soleil, des machines comblant la mer de quartiers de roche, dressant une muraille où parfois des ouvriers restaient comme une bouillie sanglante ». BASSIN À FLOT NAPOLÉON III. Mais la mise en place de la Force de dissuasion nucléaire française, voulue par le général de Gaulle, implique le premier SNLE, le Redoutable, construit à partir de 1964 et lancé par le président de la République trois ans plus tard. Le 13 janvier 1979 pourtant, une forte contestation se fait jour autour de l’arrivée du Pacific Fisher, navire apportant du Japon les premiers déchets nucléaires irradiés ; elle est alimentée par les doutes induits par le projet de Flamanville et le changement de statut de l’usine de la Hague. L’arsenal et les forts de la digue résistent une journée de plus. Le transit transatlantique reprend rapidement au lendemain de la guerre avec la White Star, la Red Star Line, l’American Line, la Royal Mail, la Booth Line, la Cunard, la Lloyd, la United States Lines, la Canadian Pacific Railway. Plusieurs bourgeois de la ville participent aux Croisades, parmi lesquels Vigan (ou Wigan), comte et amiral de la flotte de Richard, qui s'illustre dans la prise d'Acre, la bataille d'Antipatride en 1191 et la conquête de Chypre, et comme cosignataire du traité de paix de Messine entre Richard Cœur-de-Lion et Tancrède[12]. Depuis, plus de 91 bâtiments y ont été construits. Les travaux débutent dans les années 1780. Aidé des Anglais, Montgomery débarque en mars à la Hougue à la tête de plusieurs milliers d'hommes, et prend Valognes, Carentan, Saint-Lô et Domfront. Après avoir d'abord laissé faire les agitateurs, Dumouriez forme dans la nuit la milice nationale qui arrête entre 150 et 300 pillards (en fonction des sources). Peu à peu, l’idée d’un « Grand Cherbourg » émerge, consistant à fusionner les six villes de la communauté urbaine de Cherbourg pour n'en faire qu’une seule. « Cherbourg - urbanisme - Les grandes manœuvres », ligne ferroviaire reliant Cherbourg à Paris, école des applications militaires de l’énergie atomique, En ligne sur le site de la ville de Cherbourg-Octeville, Historique du Centre hospitalier Louis Pasteur, La ville de Cherbourg au temps de Gilles de Gouberville, La Bretonnière, inventeur du port de Cherbourg, L'arsenal devient l'épine dorsale de Cherbourg, Le trafic transatlantique a fait de Cherbourg le troisième port de France, Une cité maritime, militaire, exotique - Cherbourg : les réseaux d’influence, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Histoire_de_Cherbourg&oldid=175597922, Portail:Cherbourg-en-Cotentin/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Le 28 avril 1532, Cherbourg reçoit en grande pompe la visite de François Ier et du dauphin[5]. On trouve plus tard, vers 1055, mention indirecte de la pêche à la baleine, avec les redevances qui en découlent. Si vous visitez le département de la Manche, les plages du débarquement et la Basse-Normandie, la visite du port de Cherbourg est une étape obligatoire pendant ce magnifique périple. La ville doit faire à une crise du logement due au boum démographique. Les premiers travaux du XVIIIe siècle, qui avaient permis la canalisation de la Divette et du Trottebec, ainsi que le creusement du bassin du commerce, sont complétés par l’assèchement des marais du Cauchin sous la mandat de Collart, dont la place prend postérieurement le nom, avant d’être rebaptisée place Divette. Durant cette période, de nombreuses fêtes patriotiques sont organisées, parmi lesquelles l’anniversaire de la prise de la Bastille (14 juillet 1790), la fête de l’Être-Suprême (8 juin 1794), et la fête en l’honneur des héros morts au siège de Granville (10 juillet 1794)[5]. Il faut se soumettre aux formalités de visite que des cas exceptionnels pourraient nécessiter. Venant de Rochefort, le Bruix. La vie culturelle se complète par la constitution de nouvelles sociétés savantes. Pour tenter de contrer le départ de la population vers les communes périphériques, la municipalité a lancé à partir de 2002 un plan de renouvellement urbain nommé « Entre terre et mer », avec l’aménagement du quartier des Bassins, la destruction de sept immeubles parmi les plus anciens (quartier de l’Amont Quentin), et la réhabilitation de 1 000 logements. L'ouverture de la passe, indiquée par deux musoirs construits, de même que les quais, en granit de Fermanville, petit village situé auprès du cap Lévi, est d'environ cent mètres. Tout à côté s'élève une construction dont l'aspect lugubre est en rapport avec la destination : c'est en effet la maison de détention et la prison disciplinaire. Les années 1990 voient également les autres piliers de l’économie cherbourgeoise vaciller, avec la fermeture d’UIE et de Burty, les plans sociaux de Socoval et d’Alcatel, la restructuration des CMN et la fin des contrats de retraitement de COGEMA. En 1776, à la demande du Roi, une commission – sous l’égide de Suffren, réunissant notamment Dumouriez, futur gouverneur de la place, et le capitaine de vaisseau et hydrographe La Bretonnière – est chargée de choisir entre Cherbourg, Ambleteuse et Boulogne le port stratégique pour la défense des côtes de la Manche[27]. 0:23. Port de pêche gaulois, devenu place forte à la pointe du Cotentin à partir des Romains, Cherbourg devient un enjeu stratégique de la guerre de Cent Ans. L'église de la Trinité est édifiée sur les ruines de l'église paroissiale. Aussi les compagnies Cunard Line (38 700 passagers en 1921, la moitié du trafic cherbourgeois), White Star Line (22 000 passagers, un quart du trafic), et Red Star Line commandent-elles, en 1922, à René Levavasseur l’hôtel Atlantique (aujourd'hui siège de la Chambre de commerce et d’industrie) pour recevoir les émigrants et interner ceux qui nécessitent quarantaine ou désinfection. Le prieur de l'hôtel-dieu reçoit le fief de Lardier, qui comprend l'essentiel de la cité, le titre de seigneur de Cherbourg, et la charge de la défense du château. Un nouveau bassin du commerce est aménagé en 1769 et inauguré en 1775, après le détournement de la Divette. Il dissout le comité et le remplace par une Commission de surveillance aux pouvoirs répressifs élargis. En 1574, les Réformés prennent Falaise, Argentan et Vire. Apeuré, le maire Demons de Garantot démissionne alors que le duc d’Harcourt, gouverneur de Normandie, et le duc de Beuvron, lieutenant général du Royaume, s'exilent en Angleterre. Le lendemain, le conseil municipal déclare Cherbourg « ville ouverte » et le général Rommel reçoit la reddition de la place des mains du préfet maritime, le vice-amiral Le Bigot, qui a pris le soin de détruire auparavant les trois sous-marins en construction à l'arsenal : le Praya, le Roland Morillot et la Martinique[4]. Les travaux de reconstruction commencent donc dès 1944, et l’effervescence autour du port profite à la ville qui ne subit pas le long pansement des plaies des autres villes du Cotentin. Elle est citée à l’ordre de l’armée le 2 juin 1948 et reçoit la Croix de guerre avec palme : « Ville patriote qui a joué un rôle considérable dans les batailles menées en 1944 sur le front occidental, libérée les 26 et 27 juin par les troupes de la première armée américaine, s'est aussitôt mis au travail avec ardeur ; ses spécialistes, ses ouvriers de l’arsenal et ses dockers aidant les Américains ont permis l’utilisation rapide du port, malgré les dégâts qu’avaient subis ses installations, les épaves échouées dans les passes, et les mines qui y pullulaient, a été pendant des mois le déversoir en hommes et en matériel de tout le potentiel de guerre américain. Syndicats, militants de gauche et une partie de la population rejoignent alors les manifestations des écologistes pour protester contre la « nucléarisation » du Nord-Cotentin[41]. Dans la partie sud de l'avant-port, s'élèvent quatre cales couvertes. Incapable de défendre tout le Cotentin, Matignon concentre ses forces dans la forteresse de Cherbourg, consolidée et fortement gardée, contraignant les protestants à se contenter de ravager une fois de plus l’abbaye du Vœu, située hors des remparts[19]. C'est un lieu de pénitence à l'usage des officiers, satiriquement nommé l'Amiral. Rasée en 1778, elle était située sur l’actuelle place Bricqueville. Le trafic y sera le double de celui du port de New York. À l'extérieur et au sud des remparts, le faubourg, le long de la Divette, était fréquenté par les matelots[18]. Même détruit à 70 %, l’arsenal de Cherbourg est moins dévasté que ceux de Brest et Lorient, et le port militaire est le seul de la façade Atlantique/Manche qui soit opérationnel. Un autre cas de choléra est pourtant signalé le 7 novembre 1865[30]. L'essentiel du transit transmanche se fait entre Barfleur et Southampton, Ouistreham et Hastings, Dieppe et Douvres. En 1785, conséquence de l’importance que prend la ville, une subdélégation est créée, toutefois plus restreinte que la vicomté supprimée quatorze ans plus tôt car couvrant essentiellement la Hague, jusqu’à Héauville et Helleville inclus, ainsi que Tourlaville, Bretteville, Digosville et Martinvast, et toujours sous la dépendance de la circonscription de Valognes.

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1.Problèmatique

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Problèmatique

Nicole, commerçante à Montgenèvre a comme projet de créer une chambre d’hôte. Elle souhaite être aidé mais habite à 1h45 de Gap, lieu dans lequel elle doit effectuer ses démarches administratives.

Paul, agent de service public va aider Nicole dans ses démarches.

2.Prise de rendez-vous

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Prise de rendez-vous

Nicole contacte un agent de la chambre de commerce par téléphone.

L’agent dispose de l’application Visiorendez-vous sur laquelle il peut planifier le rendez-vous. Il détermine le Relais de Services Publics (RSP) le plus proche de chez l’usager grâce à la recherche géographique, ce sera celui de l’Argentière-la-Bessée.

Le rendez-vous est fixé 2 semaines plus tard avec Paul, un agent spécialisé dans la création de chambre d’hôtes.

3.Rendez-vous

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Rendez-vous

Le jour du rendez-vous, Nicole se rend au RSP de l’Argentière-la-Bessée, à seulement 25 min de chez elle.

Elle se place en face de l’écran prévu à cet effet, un message s’affiche : «Votre rendez-vous avec Paul, de la chambre de commerce de Gap, va commencer dans 12 minutes…»

Le poste est équipé d’une webcam, d’un scanner et d’une imprimante.

4.Echange visio

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Echange visio

A tout moment Nicole peut transmette un document en le plaçant dans le scanner. C’est Paul qui lance la numérisation à distance.

De son côté, l’agent peut imprimer un document sur l’imprimante située à proximité de Nicole.

Paul peut également en partager son écran à Nicole. Lorsque tout est terminé, il met fin à la réunion visio.

Hautes Alpes

25services utilisent nos applications

Dans le département des Hautes Alpes, ce sont plus de 25 services publics qui sont disponibles dans 50 relais de service public. Chacun de ces lieux est équipé d’une tablette ou d’un ordinateur, connecté à une imprimante et un scanner sans fil. Chaque usager peut ainsi contacter et travailler avec l’ensemble des service publics du département. Simple pour l’usager car le rendez- vous démarre automatiquement, simple pour l’agent du service public car nous utilisons Microsoft Lync, et économique pour la collectivité.